Le TDAH, une souffrance au quotidien et inscrite dans la durée…
- le déficit de l'attention
- l'hyperactivité motrice
- l'impulsivité
… Mais dont le repérage s’avère complexe
Le médecin de premier recours, un acteur clé dans le repérage
Le rôle du médecin spécialiste du TDAH : confirmer ou non le diagnostic, initier la prise en charge
- confirmer ou non le pré-diagnostic du médecin de premier recours,
- élaborer une prise en charge adaptée à l’enfant,
- accompagner l’enfant et la famille.
La prise en charge : les thérapies non médicamenteuses en première intention
DOCUMENT :
En savoir +
Des Français en bonne santé, mais toujours inégaux face à la santé
L’allongement de la durée de la vie
La progression des maladies chroniques
La persistance des inégalités de santé
Réformer notre système de santé pour l’adapter aux enjeux d’aujourd’hui
Renforcer la prévention
Faciliter l’accès aux soins de proximité
Innover pour consolider l’excellence de notre système de santé
Cancer
Principaux faits
- Les cancers figurent parmi les principales causes de morbidité et de mortalité dans le monde; en 2012, on comptait approximativement 14 millions de nouveaux cas et 8,2 millions de décès liés à la maladie.1
- Le nombre de nouveaux cas devrait augmenter de 70% environ au cours des deux prochaines décennies.
- Chez les hommes, les 5 types de cancer les plus couramment diagnostiqués en 2012 étaient le cancer du poumon, de la prostate, du côlon et du rectum, de l’estomac et du foie.
- Chez les femmes, les 5 types de cancer les plus couramment diagnostiqués en 2012 étaient le cancer du sein, du côlon et du rectum, du col de l’utérus et de l’estomac.
- Environ 30% des décès par cancer sont dus aux cinq principaux facteurs de risque comportementaux et alimentaires: un indice élevé de masse corporelle, une faible consommation de fruits et légumes, le manque d’exercice physique, le tabagisme et la consommation d’alcool.
- Le tabagisme est le facteur de risque le plus important, entraînant dans le monde environ 20% de la mortalité par cancer et près de 70% des décès par cancer du poumon.
- Dans les pays à revenu faible ou intermédiaire, on impute jusqu’à 20% des décès par cancer à des infections virales, notamment par le virus de l'hépatite B, C ou le papillomavirus humain (HPV).2
- Plus de 60% des nouveaux de cancer surviennent en Afrique, Asie, Amérique centrale et Amérique latine. Ces régions représentent 70% des décès par cancer dans le monde.
- On estime que le nombre de cas de cancer par an devrait augmenter de 14 millions en 2012 à 22 millions au cours des deux prochaines décennies.1
Le terme général de «cancer» s’applique à un grand groupe de maladies pouvant toucher n’importe quelle partie de l’organisme. On parle aussi de tumeurs malignes ou de néoplasmes. L’un des traits caractéristiques du cancer est la prolifération rapide de cellules anormales qui, au-delà de leur délimitation habituelle, peuvent envahir des parties adjacentes de l’organisme, puis essaimer dans d’autres organes. On parle alors de métastases, celles-ci étant la principale cause de décès par cancer.
Le problème
- cancer du poumon (1,59 million de décès)
- cancer du foie (745 000 décès)
- cancer de l’estomac (723 000 décès)
- cancer colorectal (694 000 décès)
- cancer du sein (521 000 décès)
- cancer de l'œsophage (400 000 décès).
Quelle est la cause du cancer?
- les cancérogènes physiques, comme le rayonnement ultraviolet et les radiations ionisantes;
- les cancérogènes chimiques, comme l’amiante, les composants de la fumée du tabac, l’aflatoxine (contaminant des denrées alimentaires) ou l’arsenic (polluant de l’eau de boisson);
- les cancérogènes biologiques, comme des infections dues à certains virus, bactéries ou parasites.
Par le biais de son institution spécialisée, le Centre international de Recherche sur le Cancer (CIRC), l’OMS tient à jour une classification des agents cancérogènes.
Facteurs de risque du cancer
Comment réduire la charge du cancer ?
Modifier et éviter les facteurs de risque
- le tabagisme;
- la surcharge pondérale ou l’obésité;
- la consommation insuffisante de fruits et légumes;
- le manque d’exercice physique (sédentarité);
- la consommation d’alcool;
- l’infection à HPV sexuellement transmissible;
- l’infection à virus HBV;
- les rayonnements ionisants et non ionisants;
- la pollution de l’air des villes;
- les fumées à l’intérieur des habitations dues à l’utilisation de combustibles solides par les ménages.
Stratégies de prévention
- éviter les facteurs de risque énumérés ci-dessus;
- vacciner contre le virus du papillome humain (HPV) et contre le virus de l’hépatite B (HBV).;
- lutter contre les risques professionnels;
- réduire l’exposition aux rayonnements non ionisants provenant des UV;
- réduire l’exposition aux rayonnements ionisants (imagerie diagnostique professionnelle ou médicale).
Dépistage précoce
- l’inspection visuelle après application d’acide acétique (IVA) pour le cancer du col dans les milieux défavorisés;
- test de dépistage du VPH pour le cancer du col de l’utérus;
- le test de Papanicolaou pour le dépistage du cancer du col dans les milieux à revenu élevé ou intermédiaire;
- la mammographie pour le dépistage du cancer du sein dans les milieux à revenu élevé ou intermédiaire.
Traitement
Soins palliatifs
L’action de l’OMS
- renforcer l’engagement politique en faveur de la prévention et de la lutte anticancéreuses;
- coordonner et mener les recherches sur les causes de cancer chez l’homme, ainsi que sur les mécanismes de la carcinogénèse;
- élaborer des stratégies de prévention et de lutte anticancéreuses;
- suivre la charge du cancer (dans le cadre des travaux de l’Initiative mondiale pour le développement des registres du cancer);
- produire de nouvelles connaissances et diffuser celles qui existent déjà pour faciliter la mise en œuvre de méthodes de lutte anticancéreuse fondées sur des bases factuelles;
- élaborer des normes et des outils pour guider la planification et la mise en œuvre d’interventions pour la prévention, la détection précoce, le traitement et les soins;
- faciliter la création de vastes réseaux de partenaires et d’experts de la lutte anticancéreuse aux niveaux mondial, régional et national;
- renforcer les systèmes de santé aux niveaux national et local pour soigner et guérir les malades;
- fournir une assistance technique pour le transfert rapide et efficace des interventions fondées sur les meilleures pratiques dans les pays en développement.
Références
L’hypnose chirurgicale en cancérologie : éviter les anesthésies générales - Institut Curie, Paris
Pour induire l’hypnose, j’aide la patiente à se centrer sur elle-même et à se détacher de tout ce qui se passe autour d’elle.Je l’invite, sur un mode actif, à entrer dans un état de conscience naturel, entre le rêve et l’éveil. Quand la patiente se trouve dans son monde imaginaire, nous parlons ensemble au présent. Nous vivons chaque moment comme si nous y étions.Tout l’art de l’hypnose consiste à accompagner de manière personnalisée la patiente dans son champ des possibles et à la laisser aller là où elle veut et faire ce qu’elle a envie de faire. Je reste donc ouverte dans mes suggestions.En fin d’intervention, j’inverse doucement l’état d’hypnose et j’aide la patiente à reprendre confortablement contact avec la réalité, tout en lui faisant des suggestions pour le post-opératoire, sur la cicatrisation, l’énergie ou l’appétit.Le Dr Aurore Marcou, médecin anesthésiste et hypnothérapeute à l’Institut Curie
Concrètement, au bloc, la patiente va bénéficier :
- d’une anesthésie locale du site opératoire (lidocaïne par exemple),
- d’une sédation par intraveineuse contenant un analgésique de courte durée d’action (rémifentanil) préservant la conscience.
- d’une mobilisation de la conscience par l’hypnose.
- l’inconfort psychologique de la patiente en « captant » sa conscience,
- le message douloureux provenant d’une terminaison nerveuse en empêchant toutes les zones du cerveau d’être activées par la douleur.
A savoir :
Eviter l’anesthésie générale : des avantages forts pour la récupération post-opératoire des patient(e)s
L’anesthésie générale induit pharmacologiquement une diminution de la ventilation spontanée, des réflexes de déglutition, de la tension artérielle que le corps récupère doucement au réveil. Elle peut également induire une désorientation et des troubles de la mémoire .L’hypnosédation a par comparaison un retentissement minime sur les fonctions vitales.Le Dr Aurore Marcou
L’hypnosédation est une excellente alternative à l’anesthésie générale pour certaines patientes, leur permettant une meilleure récupération post-opératoire.Le Dr Séverine Alran, chirurgienne à l’Institut Curie
La patiente peut évoquer spontanément la possibilité d’une chirurgie sous hypnose parce qu’elle en a entendu parler, ou c’est moi qui, selon la chirurgie que je pratique et la personnalité de la patiente, estime pouvoir la lui proposer.Le Dr Séverine Alran, chirurgienne à l’Institut Curie
L’hypnose ne peut s’effectuer sans la pleine coopération du patient : elle n’est donc évidemment pas indiquée pour les personnes réfractaires à cette idée.Le Dr Aurore Marcou
Une évolution des pratiques pour les praticiens et le personnel soignant
L’hypnosédation implique une mobilisation de toute l’équipe médicale et une concentration supplémentaire de la part du chirurgien.L’ambiance doit être calme et assez silencieuse au bloc pour que la patiente reste détendue et concentrée sur son hypnose. Il faut également parler peu et choisir ses mots, éviter tout terme anxiogène. Le geste chirurgical est la plupart du temps le même.Par ailleurs, le réveil, avec toute la surveillance que cela suppose, n’est plus nécessaire. L’hypno-analgésie nous incite à évoluer dans certaines de nos pratiques et dans l’organisation de la prise en charge chirurgicale.Le Dr Séverine Alran, chirurgienne à l’Institut Curie
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L’enjeu du programme AcSé
L’objectif de ce projet novateur est de voir si des traitements aujourd’hui utilisés pour un certain type de cancer peuvent avoir une efficacité sur d’autres tumeurs.
Pr Agnès Buzyn, présidente de l’INCa
AcSé en bref
- Proposer aux patients adultes et enfants atteints de cancer et en échec de thérapeutiques validées, d’accéder à un traitement basé sur une anomalie moléculaire de leur tumeur, dans le cadre sécurisé d’un essai thérapeutique de phase 2. Les patients ayant accès à un essai clinique existant ne sont pas concernés par le programme AcSé ;
- Etudier l’intérêt de ces molécules ciblées innovantes, en termes d’efficacité et de tolérance, chez des patients atteints de cancers de différents types cytologiques ou histologiques, présentant l’anomalie moléculaire ciblée, en l’absence d’AMM dans cette indication, d’essai clinique de développement, d’ATU de cohorte ou de RTU ;
- Garantir une égalité d’accès des patients aux traitements innovants sur tout le territoire français, que ces patients soient pris en charge dans le secteur public ou privé.
L’essai AcSé crizotinib : un démarrage réussi
Le traitement est bien toléré aussi bien chez l’adulte que chez l’enfant.Et pour certains patients en situation d’échec thérapeutique notamment dans le cancer du poumon, le crizotinib a montré des signes d’efficacité très encourageants.Nous allons poursuivre les efforts de recrutement dans toutes les pathologies concernées afin de définir, c’est notre plus grand souhait, tous les patients qui peuvent bénéficier d’un traitement par crizotinib.Le Pr Gilles Vassal, pédiatre et directeur de la recherche clinique de Gustave Roussy (Villejuif)
Les chiffres clés
Présentation du nouvel essai : AcSé vemurafenib
- Cancer du poumon non à petites cellules
- Cancer de l’ovaire
- Cholangiocarcinome (forme assez rare de cancer du foie)
- Cancer de la thyroïde
- Cancer de la prostate
- Cancer de la vessie
- Sarcome/GIST
- Myélome multiple
- Leucémie Lymphoïde Chronique
- Leucémie à tricholeucocytes
- Autres cancers présentant une altération activatrice de BRAF
Cet essai apporte un nouvel espoir aux patients en échec thérapeutique souffrant d’une tumeur ayant une altération génomique de BRAF.Grâce au programme AcSé, ils peuvent bénéficier d’un accès sécurisé à un traitement innovant, le vemurafenib, ayant déjà fait ses preuves dans les cas de mélanome présentant cette mutation.Le Pr Jean-Yves Blay
Plus d'informations
- Centre Hospitalier Henri Duffaut d'Avignon, représenté par son Directeur, M. Francis DECOUCUT,
- Centre Hospitalier Intercommunal de Cavaillon-Lauris, représenté par son Directeur, M. Francis DECOUCUT,
- Centre Hospitalier du Pays d'Apt, représenté par sa Directrice, Mme Danielle FREGOSI,
- Centre Hospitalier de Carpentras, représenté par son Directeur, M. Alain DE HARO,
Médecins généralistes
- le dispositif spécifique de permanence des soins ambulatoires (service de garde des médecins généralistes) sera applicable : pour toute demande médicale pendant cette période, les patients sont invités à contacter directement le 15 ou SOS médecin. Vous serez orienté en fonction de votre situation médicale.
- il vous est conseillé d’appeler en première intention votre médecin afin de savoir s’il assure ses consultations auprès de sa patientèle ou si le message de son répondeur réoriente ses patients.
Si ce n’est pas le cas, appelez le 15 qui vous orientera en fonction de votre demande.
Dans tous les cas pour toute urgence médicale grave, ou en cas de doute, contactez le 15, accessible 24h/24h.
Une dépression difficile à repérer et qui peut passer inaperçue
Ne pas confondre la dépression avec la déprime traversée durant l’adolescence
- La déprime est un état normal et transitoire durant lequel l’adolescent présente une série de symptômes à tonalité dépressive (comme la morosité ou l’instabilité émotionnelle). Cet état ne présente pas une intensité cliniquement significative et ne retentit pas significativement sur le fonctionnement quotidien, relationnel ou scolaire de l'adolescent. Elle doit toutefois être surveillée car elle constitue un facteur de risque vers une véritable dépression.
- La dépression (ou épisode dépressif caractérisé) se caractérise quant à elle par des symptômes dépressifs (troubles de l’humeur, du cours de la pensée, troubles physiques et instinctuels, cognitions négatives et idéations suicidaires) s’inscrivant dans la durée et entraînant une souffrance cliniquement significative et un retentissement sur le quotidien de l’adolescent.
Etablir le bon diagnostic
Adapter la prise en charge : à l’adolescent, à sa situation
Et dans certains cas : prise en charge médicamenteuse, hospitalisation
Documents
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Faits marquants au 4 novembre 2014
Les signalements d'intoxication

Depuis le 1er septembre 2014
Au cours des deux dernières semaines,
Les intoxications au CO en lien avec un groupe électrogène ou un brasero/barbecue
En région
Principaux déclarants
- les services départementaux d’incendie et de secours (SDIS) : 54% des signalements ;
- les services d’urgence hospitaliers : 25% des signalements ;
- les services de médecine hyperbare : 7% des signalements.
De la surveillance à la prévention
- Ne jamais se chauffer avec des appareils non destinés à cet usage (réchauds de camping, fours, braseros, barbecues).
- Ils doivent impérativement être placés à l’extérieur des bâtiments.
- Faire vérifier et entretenir les conduits de fumées (par ramonage mécanique)
- Faire vérifier et entretenir chaudières, chauffe-bains, inserts, poêles
- N’installez jamais les groupes électrogènes dans un lieu fermé (maison, cave, garage…)
- Ils doivent impérativement être placés à l’extérieur des bâtiments
Dossier de presse sonore
Au cours de cette réunion, les principaux engagements suivants ont été pris par consensus:
- Les laboratoires pharmaceutiques qui mettent au point les vaccins s’engagent à augmenter les capacités de production afin de que plusieurs millions de doses soient disponibles en 2015 et que des centaines de milliers de doses soient déjà prêtes avant la fin du premier semestre. Dans les pays où les vaccins sont fabriqués et en Afrique, les autorités de réglementation s’engagent à soutenir la réalisation de cet objectif en respectant des délais très courts.
- La participation des communautés est essentielle et il est urgent d’intensifier l’action, en partenariat avec les communautés locales, les gouvernements nationaux, les ONG et les organisations internationales.
Participants à la réunion
Qu’est ce qu’un AVC ?
- antécédents d’hypertension artérielle ;
- tabagisme ;
- obésité abdominale ;
- le type d’alimentation et l’activité physique ;
- le diabète ;
- la consommation d’alcool ;
- stress et dépression ;
- fibrillation atriale.
Quels sont les signes d’alerte d’un AVC ?
- Déformation ou engourdissement de la bouche.
- Faiblesse ou engourdissement d’un côté du corps.
- Difficulté à parler.
Que faire lorsque l’on suspecte un AVC ?
Que faire en attendant les secours ?
- Allonger la personne avec un oreiller sous la tête et la laisser allongée jusqu’à l’arrivée des secours.
- Noter l’heure où les signes sont apparus ou quand la personne a été vue pour la dernière fois sans signe.
- Regrouper les ordonnances et les résultats des dernières prises de sang réalisées
Les gestes à éviter
- Ne pas faire boire ni manger.
- Ne donner aucun médicament.
- Ne faire aucune injection même si c’est le traitement habituel.
En hiver, au printemps, en été ou à l’automne, la mise à jour des vaccins c’est toute l’année !
La vaccination, ça commence dès le plus jeune âge !
- A 2 mois : le premier vaccin combiné protège contre la diphtérie, le tétanos, la polio, la coqueluche, l’haemophilus et l’hépatite B. Une deuxième dose à 4 mois et un rappel à 11 mois sont nécessaires pour être protégés ; la vaccination contre les pneumocoques est faite le même jour que le vaccin combiné, à 2 et 4 mois avec un rappel à 11 mois.
- A 12 mois : le vaccin contre la méningite à méningocoque C est recommandé le même jour que la 1ère dose de vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (ROR). Une deuxième dose du vaccin ROR doit être faite entre 16 et 18 mois.
- A 6 ans : un rappel contre la diphtérie, le tétanos, la polio, la coqueluche est nécessaire.
Les adolescents, une population exposée aux maladies infectieuses
- Entre 11 et 13 ans : un troisième rappel contre la diphtérie, le tétanos, la polio, et la coqueluche est nécessaire ;
- La jeune fille entre 11 et 14 ans : deux doses de vaccin contre les papillomavirus sont recommandées, la seconde dose est administrée six mois après la première.
Les rattrapages sont toujours possibles
La vaccination : ça concerne aussi les plus grands
Coqueluche : se faire vacciner pour protéger les nourrissons
Pour en savoir plus
- Le calendrier des vaccinations et recommandations vaccinales 2014
- La politique vaccinale et obligation vaccinale en population générale
- Les données de vaccinovigilance
- La vaccination, informations générales
- Rapport « Qualité de l’eau du robinet en France - Données 2012 »
- Dépliant « Ce qu’il faut savoir sur l’eau du robinet »
- Plus d’informations sur www.sante.gouv.fr/eau-du-robinet.html
Inondation : adoptez les bons réflexes !
Limiter les risques en cas d’inondation
Après l’inondation, réintégrer son domicile
Voir aussi :
- des données issues de l’autorisation de mise sur le marché : Résumé des caractéristiques des produits, notice et indications thérapeutiques
- des informations réglementaires comme les conditions de prescription et de délivrance, la procédure d’autorisation
- l’appartenance à un groupe générique
- des informations de sécurité sanitaire
- des documents de bon usage
- le Service Médical Rendu et l’Amélioration du Service Médical Rendu
- des informations médico-économiques comme le prix, le taux de remboursement, l’agrément aux collectivités
- Communiqué du ministère : 1 an après son lancement par Marisol Touraine, le site www.medicaments.gouv.fr atteint 900 000 visites (03/10/2014)
L’ANSM rappelle que les professionnels de santé doivent déclarer immédiatement tout effet indésirable suspecté d’être du à un médicament dont ils ont connaissance au centre régional de pharmacovigilance dont ils dépendent géographiquement.
Les patients et les associations agréées de patients peuvent également signaler tout effet indésirable à leur centre régional de pharmacovigilance.
Pour plus d’information : Déclarer un effet indésirable
- Niveau de risque « moyen »
- Niveau de risque « élevé »
- Niveau de risque « très élevé »
- Intervention de Marisol Touraine, Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes - Conférence de presse – Octobre Rose (PDF - 105.3 ko)
- Communiqué de presse - octobre rose 2014 (PDF - 129.4 ko)
- Dossier de presse - octobre rose 2014 (PDF - 4.5 Mo)
- Pour plus d’informations, consultez le site de l’INCa